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Cirque etc ...

17 avril 2008

refonte partielle

Voilà, petit changement. Ce lieu me correspondra mieux je pense. Je ne suis définitivement pas faire pour étaler ma vie et mes sentiments comme ça.
Par contre j'ai souvent plein de choses à raconter sur ma plus grande passion : le cirque.
Il occupe mes journées, mes soirées, mes nuits, mes discussions, mes occupations ...
Et bien sur ses potes aussi : la danse, le théâtre, le spectacle de rue ... toutes les formes de spectacle vivant !

Amateurs, prenez place :)

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13 avril 2008

et telle la fourmi

Les heures supplémentaires du permis

Du matos à acheter rapidement pour pouvoir faire la création tranquillement

des billets de train pour les vacances

pas mal de courses diverses ...

Parfois, lorsque la bise crise fut viendue, ça a du bon de jouer la fourmi ! Je crois que je vais m'en sortir pas trop mal grâce à mes petites réserves dignes d'un magot-de-dessous-le-matelas ...

12 avril 2008

et le week-end ...

Il n'y a que le week-end que je peux comprendre ce qu'il ressent.

Moi, la semaine, j'ai mes cours de 9h à 18h, plus éventuellement la conduite ou d'autres extras le soir. Je rentre entre 19 et 20h en général. Juste le temps de me prendre une bonne douche, de me faire à manger pour le soir même et pour le lendemain midi, de traînasser un peu sur internet, de discuter avec les colocs puis d'aller me coucher.
Ce qui fait que dans la journée, je suis à fond dans mes cours (un moment d'inattention ou de déconcentration et ca devient vite dangereux) et quand je rentre le soir je m'empresse de me déconnecter de tout ça et de prendre un peu de temps pour moi. Ha oui et j'allais oublier le temps passé au téléphone avec lui. Mais voilà, c'est presque le seul moment où j'ai réellement l'esprit accaparé par lui, où je pense à Nous et à ce qu'on devient. Au final ça reste très peu de temps dans la journée j'ai l'impression.
Le truc c'est que lui, il n'a pas des journées aussi occupées que ça et qu'il a tout le temps de penser et de réfléchir. Parfois je m'étonne de son côté fataliste sur notre relation et sur le "où on va?". Mais le week-end ... le week-end lorsque je fais ma mémère et que je reste chez moi à traînasser, j'ai tout le temps aussi de penser à lui, à ce qu'il fait, à ses soirées qu'il me raconte, aux autres, celles qui m'inquiètent ... Le week-end je déprime beaucoup plus facilement qu'en semaine, et là je comprends ce qu'il peut ressentir et pourquoi parfois il en a tellement marre.

Je l'admire, j'ai vraiment l'impression que je ne serai jamais à la hauteur. Je me sens égoïste dans cette histoire, absolument pas digne de son amour. Et pourtant, il me le prouve tous les jours.

Allez, tous ensemble, croisons les doigts très très fort pour Que Chatellerault réponde favorable à ma demande !!!!

12 avril 2008

projection privée

Discussion autour d'un verre hier soir avec une amie.
On commence par parler de nos parents, de leur jeunesse, de leur parcours, pour en arriver à leur premier enfant. Les miens ont eu ma grande soeur très jeunes, puis mon grand frère pas longtemps après, et enfin moi quelques années plus tard. Nous étions tous les trois arrivées alors que ma mère n'avait même pas 30 ans. Nous sommes maintenant tous les trois partis de la maison, ils ont la cinquantaine toute fraîche, et c'est maintenant qu'ils prennent du temps pour eux ! Les voyages, les randonnées, les petits week-end en amoureux pour se couper un peu de leur boulot ... Tout ça ils peuvent se le permettre pendant que leurs collègues du même âges eux, sont encore en train de se débattre avec les couches culottes des derniers et la crise d'adolescence difficile des aînés. Et là, je me dis que j'admire et j'envie le mode de vie qu'ont choisi mes parents. On a eu beau leur répéter à tout bout de champs qu'ils étaient en train de gâcher leur jeunesse à faire des enfants si tôt, ils ont suivi leurs envies et ont assumé pleinement ce choix. Et leur jeunesse ils ne l'ont toujours pas perdue. Ce n'est plus celle de leurs 20 ans, mais ça ne les empêche pas de faire aujourd'hui toutes sortes de petites folies qu'ils se sont privés de faire étant plus jeunes.

Et ça aujourd'hui, ça me parait tout simplement inimaginable. Les psychologues en herbe me diront que c'est pour reproduire le modèle parental, mais il se trouve que ça me fait envie ce parcours, ce choix d'avoir des enfants jeunes. Et pour autant je ne me sens absolument pas prête à en avoir maintenant. Pas avant quelques années ! Mais je ne démords pas du fait que je veux en avoir avant 30 ans. Peut-être que ce sera à 26 ou 27 ans, peu importe.
Et là s'est posée la question de : tu te vois où à 26 ou 27 ans ? 
...
Je n'en sais absolument rien. L'idéal dans ma tête serait d'être dans une compagnie qui marche et qui tourne bien, avec un spectacle qui cartonne, à vivre du cirque comme j'en ai toujours eu envie, et avec Doudou à mes côtés. En gros un boulot qui me plaît et l'amour en prime. Et peut-être que là des enfants seront envisageables. Et encore, je ne pourrai peut-être pas me permettre d'arrêter le spectacle.
Bref en gros je n'en sais rien du tout, je n'arrive pas à me projeter de manière sensée dans 5 ou 6 ans. Je n'arrive pas déjà pas à savoir où je serai l'année prochaine, c'est pour dire. J'ai choisi l'option de rapidité et d'efficacité, mais encore faut-il que ça marche comme je l’imagine.

Je ne sais pas ce que l’avenir me réserve, comme tout le monde bien évidemment, mais je suis surtout embarquée dans une voie plus qu’incertaine où tout est aléatoire, où je n’ai pas le droit à un seul faux pas, pas une seule blessure … Je crois que j’ai un peu peur, mais qu’au fond j’aime ça.

Rendez-vous dans 5 ou 6 ans pour faire le bilan …

9 avril 2008

Ces quelques secondes de frustration

Qu'il est bon, ce sentiment de frustration.
Lorsque la lumière faiblit peu à peu sur scène, que le noir envahit les artistes, que tout se fige juste avant que se déclenche la salve d'applaudissements et de cris du public conquis. Il y a toujours ces quelques secondes magnifiquement bien orchestrées où l'on sent que le tableau final touche à sa fin, que dans quelques instants les artistes en auront fini de leur prestation et ne seront plus sur scène que pour déguster le fruit de leur travail. Ces quelques secondes où, en tant que spectateur sous le charme, on réalise que le grand bouquet final est en train de se dérouler sous nos yeux et que non non non, on veut pas que ça s'arrête, on en veut encore ! C'est trop court, toujours trop court ! Ils sont en nage, essoufflés, ont déployé une énergie incroyable une heure durant mais malgré tout on en redemande toujours plus.
J'aime ce sentiment de frustration, paradoxal de par sa nature puisque provoqué par une fascination du spectacle. Le temps semble se compresser. Le spectacle est magique.

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2 avril 2008

heuu ... comment te dire ?

Moi qui rentre à l'appart presque en dansant : "les filles, notre mission si vous l'acceptez, c'est de se faire une play-list de malade pour samedi soir !!!"
Elles : "....................................................."
Moi, pleine d'entrain : "Ca vous dit ???"
Alice : "... Heu Curieuz j'suis super fatiguée là ...."

Allez savoir pourquoi, la tournure des choses m'a fait éclater de rire.

29 mars 2008

broutilles

Est ce qu'une bonne idée donne forcément un bon résultat ?

Des idées, j'en ai ! des bonnes, surement que oui, aussi. Mais au final, je suis souvent déçue du résultat. Pas moyen de réaliser exactement ce que j'avais en tête. Et du coup j'ai l'impression de ramer, de stagner. Comment on fait pour faire sortir de sa tête précisément ce qu'on y voit ? Elle est où la formule magique ? Si j'arrivais à faire germer précisément toutes les belles images que j'ai en ce moment dans mon petit crâne pour le prochain numéro ... Rhaaaa ce serait la révélation ! Deuxième année assurée, voire même peut-être ZE école !

ZE école ... Ca n'aura beau durer que 6 mois, je ne serai pas de retour aussitot pour autant. Je le sais d'avance, et pourtant c'est ce que je m'évertue à croire. Il ne va pas m'attendre indéfiniement. Mais je ne vais pas me couper l'herbe sous le pied pour autant. J'ai deux coeur, l'expression prend tout son sens en ce moment. Un bout pour lui, un bout pour ma passion, qui est la sienne aussi pourtant. Mais pour le moment les deux ne sont pas joignables. Pas moyen d'assouvir les deux au même endroit. Pas encore. Mais j'y crois, je reviendrai et là ce sera un nouveau départ pour nous deux...



Et puis crotte. Pourquoi des pensées qui ont l'air si négatives alors qu'au fond tout va très bien ? Malgré ce gros flou pour l'année prochaine (comme tous les ans à cette période), il fait un temps magnifique qui donne envie de faire plein de choses, une lettre de motiv quasiment bouclée, un permis quasiment dans la poche d'après mon moniteur, un WE toute seule chez moi ( oui des fois ca fait du bien je trouve), une méga soirée en prévision pour le WE prochain avec mon frère et peut etre mon chéri qui seront là ...

I'm not worried, I'm just happy :)

30 septembre 2007

jusqu'au bout de la nuiiiiiiit

J'trouve pas le sommeil. J'ai beau chercher partout dans tous les recoins de mon lit, j'le trouve pas.

Faudrait que je prenne le temps de vraiment me vider la tête ici. Mais la rentrée c'est demain, j'ai décidé d'être raisonnable, alors je le ferai plus tard.

Un épisode de Earl, et j'éteinds tout ...

Bonne nuit !

30 septembre 2007

De l'art de s'exprimer

Dès la première fois que je l'ai vue, j'ai remarqué sa présence et son aura presque étouffants. Dès qu'elle prend la parole, elle rayonne, on ne voit plus qu'elle.
Elle a une voix posée, calme, très claire. Elle a de grands yeux verts, très expressifs. Et dès qu'elle parle, qu'elle raconte quleque chose, on se croirait téléportés dans une pièce de théâtre, ou dans un one woman show. Elle a beau ne jamais avoir fait de théâtre, elle a parfaitement compris la technique oratoire et sait tenir son public en haleine. Elle ménage les petits suspens sans trop en faire,elle est très expressive, elle prends son temps ... c'est magique. c'est un vrai bonheur de l'écouter.
Et pour bien faire les choses, elle est bourrée d'anecdotes à raconter. Vraies ou fausses, réalité ou affabulation, parfois je me pose la question. N'empêche que c'est toujours agréable.

Et j'admire. Je jalouse presque. Si j'ai quelque chose à raconter d'un peu long j'en suis presque à m'excuser au bout d'un moment "de vous emmerer avec mes histoires stupides". Ou parfois ce n'est même pas la peine, je me rends compte dans le regard des gens qu'ils s'ennuient, que ce n'est pas interessant. Lorsque j'ai envie de vanter les mérites d'un film d'un bouquin, d'un pestak, je m'y prends tellement mal que je ne fais vraiment pas une bonne pub à la chose en question. Et je m'en veux !!! Il y en a comme ça qui ont un don ... D'autres pas. Dommage pour moi.

26 septembre 2007

l'appel de l'estomac

Je vis dans une coloc à trois. J'ai emménagé quasiment en même temps que tout le monde cet été, sauf que dans mon cas emménager veut dire "poser toutes mes affaires et tous mes cartons et m'en aller aussitôt". Non pas que je fuie mes nouvelles coloc ou mon appart, mais j'étais juste préssée de retrouver Doudou tout la haut pour y passer le plus de temps possible. Maintenant que je suis revenue à Montpellier, il faut que je m'installe vraiment, que je déballe tout, que je prenne mes marques etc. Et bien sur, il faut aussi que je pense à manger de temps en temps. Jusqu'ici il y a toujours eu quelque chose de plus important qui m'empêchait de faire les courses. Il a fallu que je mette cette mission ô combien importante en priorité sur toutes les autres de la journée pour être sure de pouvoir le faire.

Il est à peine 9h30, je m'enfile un bon gros petit déj en papotant, et me mets en route pour le Lideule le plus proche, suivie de -très- près par mon fidèle petit caddie de grand-mère (hou que je l'aime celui-là !!). Arrivée la bas, j'épluche les rayons un par un (bon je sais y'en a pas tant que ça) pour être sure de ne rien oublier, d'avoir tout ce qu'il faut pour les jours à venir. 'Fin vous savez ce que c'est, les toutes premières courses quand on vient d'emménager, ça veut dire prévoir les trucs "de fond", genre épices, de quoi faire des sauces, les conserves ... genre les plus grosses courses de toute l'année quoi !

Et puis fatalement, dans mon épluchage méthodique des rayons, je finis par arriver devant celui où mes papilles palpitent, où mon regard ne sais plus où se poser, le rayon où malgré toute la volonté que je peux y mettre chaque paquet finit par atterir dans mon caddie. Vous savez, celui-là même où le sucre est maître et le chocolat est roi, où les paquets de biscuits usent de stratagèmes tous plus fourbes les uns que les autres pour vous tenter, où rien n'y fait, malgré tout, il faudra goùter à tout. Gourmande que je suis, je tombe toujours dans le panneau et cède à la tentation.

Et bien ce matin, et sans préméditation, j'ai pu tester la technique dite du "bide plein" et constater combien elle est efficace. Ca fait plusieurs fois qu'après d'affreux craquages à l'heure du goûter dans ce même rayon je me dis qu'il faudrait que j'essaye un jour de faire mes courses juste après avoir mangé, quand je n'ai pas faim et que ce n'est pas mon estomac vide qui me poussera à la consommation. Ce fut le cas ce matin, étant donné que mon petit déj' en était encore à l'état de bouillie à l'autre extrémité de mon oesophage, je n'étais étonnamment pas attirée par toutes ces petites merveilles cochonneries. Je me suis contentée du stricte minimum en prévision de la rentrée sportive et suis sortie plutôt satisfaite de ma raisonnabilité sur ce coup là !

C'est décidé, pour faire des économies maintenant, je mangerai comme dix avant d'aller faire les courses.

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